La mairie de Saint-Genis-Laval souhaite changer l’image de la ville avec un nouveau projet visant à accélérer la transition écologique. CAP27, de son petit nom, est censé permettre à la ville de devenir plus verte. Pour mieux comprendre, Antoine Piras s’est rendu sur place.

Avec son nouveau projet CAP 27, la mairie de Saint-Genis-Laval souhaite mettre en place la transition vers le vert rapidement pour la ville. Sur quatre ans, l’objectif est de transformer la ville et les habitudes des habitants.

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Alors que le froid est en train de quitter petit à petit le Rhône pour laisser place aux premiers rayons de soleil, l’impact du réchauffement climatique se fait ressentir. Pour lutter contre, Saint-Genis-Laval a annoncé un plan d’action du nom de CAP27 pour essayer d’accélérer la transition écologique.

Souhaitant faire accepter les différentes mesures par la population, la mairie veut montrer l’exemple. « Nous essayons déjà de réduire notre consommation d’eau et d’électricité, car si on ne le fait pas les gens ne le feront pas. Il faut ensuite dialoguer avec les gens pour essayer de leur faire comprendre que chaque geste est important » explique Stéphane Gonzalez, premier adjoint dédié à l’économie et à l’environnement.

Des projets déjà mis en place

Pour réussir cette transition écologique, différentes mesures ont déjà été mis en place. Le projet de végétalisation des écoles de la ville a déjà commencé. L’appel à projet est en cours pour la plantation des végétaux lors des vacances scolaires d’été.

Au mois de mai, le « mois sans voiture » en partenariat avec Sytral Mobilités. 40 familles choisies vont arrêter les déplacements avec leur véhicule. Des cartes de métro et des vélos électriques vont être mis à leur disposition.

Pour Stéphane Gonzalez : « Les gens vont pouvoir nous faire leur retour sur les différents modes de déplacement mis en place, sur les problèmes de temps d’attentes, de places, cela nous permet d’avoir un retour pour améliorer notre offre ».

Finalement, la tendance est au vert à Saint-Genis-Laval même s’il va falloir attendre un peu, avant que les projets ne germent.  « On est une jeune équipe. Il nous a fallu un peu de temps pour comprendre les rouages et mobiliser les équipes » explique Stéphane Gonzalez.

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