C’est à la Halle Debourg, que nous avons enregistré notre émission la semaine dernière. « Peinture Fraiche » festival nous a servi de décor.
Quand vous écouterez cette émission « chansons sous la Halle », le festival viendra de se terminer. Il vous restera le site Peinture Fraiche pour découvrir l’évènement et attendre patiemment l’an prochain.
Au programme cette semaine, du rap et du chant avec la chanteuse Jey Khemeya, mais aussi Gyslain. N et MONARK, de belles découvertes. On parle de Hiéroglyphes au musée des Beaux Arts avec Gaëlle et bien entendu des recommandations culturelles bien senties avec nos Gédéons !
Guillaume nous fait découvrir Jey Khemeya dans cette émission Chansons sous la halle.
Exit Lady J., bienvenue à Jey Khemeya. La jeune diva de la soul lyonnaise s’explique sur ce changement de nom mais pas de cap. « Lady J. devient Jey Khemeya ! J’ai mis longtemps avant de trouver un nom qui me corresponde et avec lequel je me sente bien. Le projet reste identique, tout comme les musiciens qui m’accompagnent. Seule l’identité évolue ! Pourquoi JEY KHEMEYA ? “Jey” pour garder un lien avec mon ancien nom de scène (Lady J.) Khemeya est un dérivé du mot “Khemeïa” qui veut dire “alchimie” en grec ancien. L’alchimiste de Paulo Coelho est un de mes livres préférés. C’est un roman philosophique qui conte l’histoire d’un homme qui, un jour, décide d’accomplir sa légende personnelle.
Petite, je rêvais d’être chanteuse, et comme le héros du roman, j’écoute mon cœur et me mets en route pour réaliser ce rêve. Je pense qu’on a tous la possibilité de s’écouter pour emprunter la trajectoire qui nous rend vivant. »
Gyslain. N nous fait découvrir son premier album dans cette émission Chansons sous la Halle
Pour suivre, Gyslain. N qui nous parle de son premier album : « Danser sous les bombes ». Tout part de cette fascination pour les mots, qui font recette dans la cuisine de l’esprit, mijotent les univers que l’âme libère, que le corps exhale. Puis vient la littérature, la poésie, l’envie d’écrire, de faire dire aux mots autre chose que ce qu’ils sont, le besoin de leur donner de la résonance par le corps et les cordes vocales. Nous avions reçu cet artiste singulier en novembre 2020, vous pouvez écouter notre échange et un titre en live en cliquant ici
Pour suivre MONARK rappeur guitariste Franco ukrainien avec qui nous parlons inspirations, engagements, mais aussi de sciences cognitives et de neuroscience.
Gaëlle nous entraine, tel Indiana Jones sur les Traces des hiéroglyphes oubliés et celle de Champollion à l’occasion d’une exposition au musée des beaux arts de Lyon
Et pour nos Gédéons cette semaine : Gaëlle évoque « Slava » de Pierre-Henry Gomont, une BD qui se déroule dans la Russie Postsoviétique. Pour Guillaume Il s’agit de littérature avec « les enfants endormis » d’Antony Passeron aux éditions Globe. Et enfin je termine avec un incontournable de la saison de la Maison de la danse : La dernière création de Anne Teresa de Keersmaker « mystery sonatas for Rosa » les mardi 8 et mercredi 9 novembre.
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