C’est un des clubs historiques de la région lyonnaise… Un club né en 1945, juste après la guerre et donc 5 ans avant l’OL. Ce club c’est l’ASUL section hand.
Créée à Lyon, la section handball allait s’installer de l’autre côté du canal à Vaulx-en-Velin, en 1989, pour devenir Asul Vaulx. Son parquet, c’est aujourd’hui le Palais des Sports Jean Capiévic.
Championnes de France en 1973, les vaudaises ont bien l’intention d’être un club qui compte au niveau national dorénavant.
Cela passe nécessairement par une professionnalisation. Et c’est pour cette raison qu’une SCIC a été créée. Entendez par là une Société Coopérative d’Intérêt Collectif pouvant réunir en son sein différents acteurs privés, publiques ou particuliers voulant soutenir leur équipe.
Objectif : trouver de nouveaux leviers de richesse, moins dépendre de l’aide publique, tout en restant un acteur du territoire
Nous avons rencontré Pascal Jacquet, président de l’ASUL Vaulx, pour faire le point sur cette évolution de l’ASUL Vaulx.
Ecoutez l’interview…
Le club doit, au moins doubler, son budget actuel de 450 000 euros pour espérer rejoindre l’élite. c’est un objectif à moyen terme car, pour l’instant, l’idée est plutôt de se maintenir et se renforcer.
Pour cette saison, l’équipe féminine de hand a quasiment assuré son maintien en D2 à 5 journées de la fin.
Elle peut même viser le Top 6 synonyme de qualification pour les play-off, d’ici la fin de la saison.
Une performance quelque peu exceptionnelle alors que la majorité de l’effectif actuel n’est pas professionnel. Ce qui veut dire, concrètement, que les joueuses étudient ou travaillent en parallèle de leur activité sportive.
Pour en savoir plus sur l’ASUL-Vaulx, c’est ici
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